"Le Révolutionaire" est ouvert!

Haaaa, la mer est belle, la vague frappe doucement sur une coquille de bois, le ciel est dégagé. Tellement différent de ce qu'on peut entendre de Grand Line. Bird se réveilla, ayant laisser son bateau vogué avec l'espérance que quelqu'un vienne frapper à sa porte pour demander si le restaurant était ouvert, mais seul le temps lui à tapé la tête pour le sortir de son sommeille hivernal. Les mers étaient vastes, trouver un bateau-restaurant n'était pas de toute tâche, surtout si ce dernier ne reste pas en place. Les habitants de cette mer le connaissent de plus en plus, Bird, l'ours qui vend des nouilles. Il laissa sortir un bâillement, se rapprochant d'un peu trop à un rugissement d'ours allongé. Il sortit de sa chambre ce situant juste en arrière de la cuisine, alla sur le quai et regarda les horizons, rien, à tribord, rien, à bâbord, de même. Il soupira et s'assit sur un des bancs du comptoir.
-C'est plus dur que je le pensais! Roar ar ar ar ar ar!
Il se releva aussitôt, et prépara un bol de ramen spécial maison, malgré le fait qu'il n'est pas de client pour l'instant. Un soupçon de miel, des tranches très fines de poisson en tout genre et un œuf d'oiseau géant coupé en cube. Il le déposa sur le comptoir et attendit quelques minutes, regardant à droite de son bateau ayant l'air penseur.
-Roar ar ar! Le premier client de la journée aura droit à mon Ramen spécial maison! Pour partir la journée de bon train.
Aussitôt, un homme sortit de sa "cachette", en arrière du mini mur qui séparait le comptoir de la cuisine au reste du bateau, à l'opposer d’où Malow regardait. Courut vers le bol de Ramen que Bird venait de faire, tout chaud, et, ce fit mettre un énorme bâton en métal, ressemblant étrangement à une baguette de ramen, sur le front. Bird, "l'arme" en main, poussa un petit peu pour faire tomber l'homme par en arrière.
Homme- Non mais ça va pas, attaquer tes clients comme ça! Espèce d'ours fou!
-Nandato? Un "client" qui attend que je me lève par moi même, pour avoir le moral a offrir un bol spécial maison au premier venu, ne devrais pas me dire comment géré mon resto', gamin.
Ils se regardèrent dans les yeux, regard d'une fraicheur agréable lorsqu'il fait chaud, mais pour le moment, on y était bien dehors, la température était bonne à se faire bronzé, mais pas à acheter un magasin de sucrerie glacé. Puis le client, ayant vu son astuce tombée à l'eau, se mit à rire, ne trouvant pas cela très amusant, Bird lui lança deux baguettes de ramen chacune sur ses deux mains, puis le menu de jour devant lui.
-Aller, ne fait pas l'enfant, si tu es venu ici c'est pour manger non?
L'ours blanc sortit une autre paire de baguettes, les sépara, les plongea dans le bol sur le comptoir et commença a dégusté les nouilles spéciales maison, bien entendu, il l'avait effectivement fait pour lui, mais ce n'est pas rare de voir certaine personne demander ce plat, c'est d'un délice étrangement délicieux... Il prépara en même temps, mais lentement vu qu'il mangeait également, d'autres nouilles.
-T'as d'autres visites, cuistot cinglé.
Dit-il en regardant en avant du bateau, un peu à gauche, un bateau, encore non identifiable, puisque Bird ne regardait juste pas, qui se dirigeait vers son bateau-restaurant. Lâchant la préparation de ses nouilles, Bird Malow, notre ours favori, lança un bol vide sur la tête du seul client à l'heur actuel, reprenant par là suite sa cuisine.

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Edward Ryuga naviguait depuis plus d'une semaine à bord de son navire, "le Destroyer" accompagnait d'un équipage de révolutionnaire conséquent. Une cinquantaine d'hommes avait tenu à accompagner leur Leader charismatique. Cet équipage avait entendu dire qu'un restaurant maritime venait d'ouvrir ces portes quelque part dans North Blue, il semblerait que le patron y cuisinait les meilleurs nouilles de la région et, notre homme adorant ce plat, presque plus encore qu'organiser une révolution. Il faut dire que depuis que la Marine avait retiré ses troupes de North Blue, les révolutionnaires avait beaucoup de temps libre et un bon nombre d’entre eux avait rejoint les deux mers que le Gouvernement Mondial tentait de garder sous contrôle. Edward était tout de même prévenu de pas mal d'actions et en fin stratège, il organisait plus de la moitié d'entre elles sans bouger du QG.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il vit un restaurant flottant, en plein milieu d’un No man's Land maritime. Mais le plus grand choc survint lorsqu'il parvint à lire le nom de ce batiment, "Le Révolutionnaire". Notre héros donna l'ordre de mettre le cap vers cet étrange lieu de restauration. Lorsqu'ils furent assez prés pour débarquer, le Leader fit rassembler tous ces hommes sur le pont.

"-Très chers amis, cette halte ne devrait pas me prendre plus d'une heure, et c'est trop petit pour que tout le monde puisse y entrer. Je vais prendre Iza et Marshall avec moi. C'est peut-étre un piége de la marine, tout est possible avec eux, donc surveillez bien les alentours et n'hésitez pas à couler les navires arborant le pavillon de la marine. Pour ceux qui ont faim, il y a beaucoup de provisions dans la cale, donc faites vous plaisir!"

Ces paroles furent suivis d'un grand cri, lancé par tous les hommes au méme instant. Ryuga prit son pistolet et le cacha dans sa ceinture pendant qu'Iza prenait ses deux sabres et que Marshall s'équipait de poings américains. Rien qu'avec ces deux personnes, notre héros ne craignait pas grand chose. Ces deux-là venaient de GrandLine et avaient vécu énormément de chose avant de rejoindre Edward. Ils débarquérent rapidement et le navire partit au large. Notre homme était tellement excité de gouter à un plat qu'on lui avait décrit comme absolument merveilleux qu'il courut jusqu'à la porte d'entrée qu'il ouvrit précipitamment. Son arrivée fut fracassante mais notre homme redevint sérieux jusqu'à ce qu'il voit un ours derrière le comptoir. Il ne comprenait pas ce qu'un tel animal pouvait bien faire ici. Il y avait également un client sur un tabouret devant le comptoir, et le Leader décida d'aller le questionner.

"-Bonjour Monsieur, est-ce bien ici que l'on vend les meilleures nouilles de la région? Et surtout, que fais un ours derrière le comptoir???

-Ahahahahahah! Vous étes au bon endroit, et cet ours va méme pouvoir vous expliquer ce qu'il fait ici, vu que c'est lui le patron!"

Quoi, un ours patron d restaurant? et surtout comment pouvait-il lui expliquer quoi que ce soit? Aprés tout, peu lui importait de connaitre tous les détails de cette histoire, du moment qu'il pouvait manger des Ramens.Il s'approcha plus prés du comptoir.

"-Il me faudrait une dizaine de bols de ramens spécial maison. Et du saké si possible!"

Il décocha son plus beau sourrire à l'animal, espérant une réponse positive de la part du patron.

Trois autres personnes entrèrent dans le restaurant, du grabuge près de l'entrée, ce n'était pas les seuls. Avec les cris de tout à l'heure, imaginons qu'ils étaient trop nombreux pour tous débarquer et commander quelque chose, dommage, cela aurait fait monter en flèche son chiffre d'affaires. Il entendit l'un deux questionnés son habitué à la langue bien pendue, il avait même été étonné que ce dernier ne dise rien de "mal" sur lui. Il regarda l'homme qui lui avait commandé un bon nombre de bols, dix pour seulement trois personnes... non, ça se divise mal. M'enfin, peu importe. À son visage, c'était clair qu'il ne s'attendait pas à voir un ours, qui ne tardera pas à lui parler, être le patron. Bon, ce n'était pas trop étonnant, mais quand même un tout petit peu blessant, pourquoi un ours ne pourrait pas tenir un restaurant?
— Roar ar ar ar! Tu ne sembles pas avoir l'habitude de voir des ours on dirait, gamin!
Des ours, passe encore, mais des ours qui se tienne tout le temps debout, qui cuisine et qui parle, ça, ça doit moins courir les rues... Il sortit une bouteille de sake à bon prix d'en dessous du comptoir, la déposa sur le comptoir et regarda les deux autres personnes rapidement. Armé, mais aucune trace qu'ils n’appartiendraient à la marine, aucune raison de les faire s'enrager par une suite de petite... "erreur". L'odeur de poudre à canon, très faible, mais perceptible pour l'odorat d'un ours, venant de la personne qui avait commandé, il portait sans doute une arme à feu, ou s'était roulé dans la réserve de poudre, ce qui serait très stupide. Ils ne ressemblaient pas à de faibles frappes, qu'il a l'habitude de recevoir fréquemment ces derniers temps. Tant qu'ils paieraient et qu'ils ne mettraient pas le bordel ici bas, tout irait bien. Il ouvrit la vitre qui isolait les nouilles qui cuisaient, prit un bol sur la pile encaissée de ses semblables sur le coin de la cuisine, mit les nouilles, les accompagnements, un peu de miel et quelques fines tranches de poisson au lieu de la viande habituelle. Il le fit glisser sur le comptoir, un peu loin de son commandeur, mais il n'avait pas raté sa "cible", loin de là. Il recommença ceci neuf autres fois, et tout ceci, à une vitesse hallucinante, pour ce genre de chose. Ça, c'était de service rapide! En moins de deux minutes, les dix bols de ramen bien rempli, de la spécialité de Bird, alignés sur le comptoir, avec en plein centre d'eux, derrière le comptoir, se tenait la personne les ayant commander.
— Voilà, gamin, tes dix bols de ramen, spécialité maison : Rakuma. J'te fais même un prix pour m'en avoir commandé dix! 15 000 Berry je te pris. Roar ar ar!
C'était cher, pour des bols de ramen, mais ce n'était pas des bols de ramen fait par de simples vendeurs, et puis c'était la spécialité qu'il avait commander. Le plein prix aurait plus tourné vers les 20 000 Berry pour dix bol de Rakuma... Ha oui, vous vous demander c'est quoi se nom étrange? Bien, Bird c'est pas casser la tête, puisqu'il met dedans deux choses dont les ours raffolent, le miel et le poison, il c'est dit quelque chose qui avait rapport avec les ours et le bonheur, hors il a mélangé Rakuen'(Paradis) et Kuma (Ours) pour faire le nom de ce plat : Le Rakuma!
— Hey! Tu ma toujours pas servit vieux débris!
Un regard froid venant de l'ours adressé à son habitué trop familier suffit à le calmer, puis Bird déposa un bol déjà prêt, fumant de chaleur, sur le comptoir, éloigné des dix autres. Étrangement, Bird ne réagit pas plus que cela.

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"- Roar ar ar ar! Tu ne sembles pas avoir l'habitude de voir des ours on dirait, gamin!"

Cet ours était vraiment incroyable, en plus de tenir un restaurant, il parlait et se tenait debout tout le temps. Le visage de notre héros s'éclaira lorsqu'il vit cet animal travailler et cuisiner à une vitesse déconcertante. En moins de deux minutes, les dix bols étaient préts et n'attendaient qu'une chose, être mangé par Edward. Mais notre homme n'eut pas le temps de prendre le plat le plus proche qu'il entendit:

"-Voilà, gamin, tes dix bols de ramen, spécialité maison : Rakuma. J'te fais même un prix pour m'en avoir commandé dix! 15 000 Berry je te pris. Roar ar ar!

-A ce prix-là, j’espère pour toi que tes plats sont excellents! Tiens prends ton argent et maintenant, laisse moi déguster ces Ramens en paix, nounours!"

Il avait joué la carte de l'humour car il était persuadé que ce patron en avait.La première bouchée qu'il enfourna dans sa bouche fut une nouvelle sensation. Il n'avait jamais rien mangé d'aussi bon de toute sa vie. Il finit très rapidement son bol et se précipita sur le deuxième qu'il engloutit en moins d'une minute. Il but une bonne gorgée de Saké à même le goulot et recommença ainsi, jusqu'à ce que tous les plats soient complétement vides. Il termina la bouteille de Saké et se tourna vers l'ours, un grand sourire aux lèvres.

"-Je t'avoues qu'en voyant un ours cuisiner, j'ai eu peur au début. Mais tes plats sont les meilleurs choses auxquels j'ai gouté de toute ma vie et crois-moi, j'ai mangé plus de Ramens que toutes les personnes réunis ici. Mais passons aux choses sérieuses maintenant!" Il s'étira le plus longtemps possible et se remis en position. "Pourquoi ton restaurant s'appelle Le Révolutionnaire? Si en plus de cuisiner aussi bien, tu as envie de te battre contre le gouvernement, c'est parfait. Je n'étais pas venu ici dans l'espoir de recruter quelqu'un, mais un cuistot comme toi pourrait motiver mes hommes. Je m'appelle Edward Ryuga, tu as peut-être entendu parler de moi? Et voici Iza et Marshall, mes gardes du corps lorsqu'ils ne sont pas occuper ailleurs. Ce sont les meilleurs combattants de North Blue ."

Si c'était un piège, ces deux hommes n'auraient aucune chance face à ces révolutionnaires. Mais il sentait que cet ours n'était pas n'importe qui, étrangement il savait au fond de lui que cet animal aurait un grand role dans la révolution mondiale.

Non... non non non! Il venait de l'appeler par le seul mot qu'il le mettait en rage... Pourquoi, pourquoi a-t-il fait une chose pareille!? Au simple mot "Nounours" qui lui était désigné, le visage de Malow, joyeux, s'éteint a une vitesse hallucinante, aucun moment de répit. Il avait arrêter de cuisiner, et regarda au sol, se répétant sans cesse dans sa tête se mot qui, pour une raison encore inconnu, le met si en colère quand il lui est destiné. C'était sa première fois ici, s'il te plait ne t'emballe pas Bird! L'habitué s'avait très bien se qui risquais de se produire, au simple mot, lui aussi arrêta tout de suite de manger, il était figé et regarda Bird. L'ours, très étonnement, se contenta d'attendre qui ais fini de manger, puis de parler, pour par la suite donner un violent coup de patte sur le comptoir, sans pour autant le brisé, puis le regarda dans les yeux. Ses deux garde du corps semblais près a intervenir, notre ours s'avait qu'il n'avait aucune chance, et s'il était si étonner de voir un ours cuisiner, il n'avait pas entendu qu'on ne devait jamais parler de Bird comme un nounours. Son visage amical revint étrangement rapidement et prit la parole, s'adressant au deux personne qui avait mit leur main à leur arme.
-Roar ar ar! Pas de combat dans mon restaurant, ou je vous lance à la mers les jeunes!
Bien sur, il ne fessais que placé sa lois, c'était son domaine, son bateau, et cette endroit est empreins de ses règles. Il tourna le regarda pour s'arrêter sur le monsieur Révolutionnaire. C'était donc un des chef de l'organisation qu'il l'avait sauvé il y a quelques années. Et il lui proposa déjà de les rejoindre? C'était du rapide non? Comme son service! Engager un ours qui cuisine seulement parce que ses plat sont super? Ce gars avait surement quelque chose en tête, mais ne semblais pas mentir.
-Roar ar ar ar ar! Je te remercie déjà de me complimenter sur ma cuisine, mais une chose, ne m'appelle plus jamais "Nounours"... Pour se qui est du pourquoi se nom, tu as déjà répondu a ta question, et par deux point. De un, mes nouilles ne sont telle pas délicieuse? Elles sont Révolutionnaires! Je compte changer le monde avec elle. De deux, oui, je n'aime pas se gouvernement, je le déteste, et je compte bien le faire tombé d'une façon ou d'une autre un jours.
Il se tourna, se pencha et sortit quelque chose d'étrange d'une armoire. Une énorme masse de fer, rectangulaire, avec quelques petits détailles dessus, ces dessein était suremetn familier au chef, vu qu'il avait eu en main un objet avec les même. Malow déposa cette mase par terre, verticalement, à côté de lui. Edward avait sans doute comprit, cet énorme rectangle était enfaite des baguettes de ramen gigantesque! Bird sourit en tapant sur le fer de sa patte droite.
-Je ne suis pas qu'un simple cuisinier, si je décide de rejoindre la Révolution, ne me laisse pas dans la cuisine, si non je risque de la prendre personnelle.
L'habitué fut surprit par la tournure des choses, et continua à manger... puis cracha le tout, prit d'une surprise incroyable. Il s'étouffa même pendant dix secondes.
-OÏ Bird! Tu va pas nous quitter?! J'viens manger ici à chaque semaine, j'vais faire quoi moi?
Bird lui tapa l'épaule de sa patte la plus proche et lui sourit, il se redressa, regarda Edward, puis le bateau se fit secoué, on pouvait entendre aisément les hommes qui étaient resté dehors du bateau crié "On nous attaque!!" Bird soupira, il se doutait c'était qui. Plus loin, il y a quelque jours, Bird Malow avait défiguré un type qui se croyait tout permit, il était partit en l'insultant et en disant qu'il reviendrais avec ses potes... c'était pas que de simple menace finalement.

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Lorsque notre héros prononça le mot "nounours", la tête du cuisinier changea du tout au tout, et, après quelques instants où il sembla se concentrer pour ne pas attaquer, il donna un grand coup de patte sur le comptoir. Même s'il ne l'avait pas briser, Edward avait senti une puissance au dessus de la normale. Les deux gardes du corps avait déjà la main sur leurs armes, prêts à ne laisser aucun témoin s'il le fallait. L'ours regarda notre homme dans les yeux et prévint qu'il ne voulait pas de bagarre dans son restaurant. Décidément, cet animal n'était vraiment pas ordinaire. Le révolutionnaire fit signe à ses hommes que tout allait bien. L’atmosphère se détendit aussi rapidement qu'elle avait changé. Bird prit la parole:

"-Roar ar ar ar ar! Je te remercie déjà de me complimenter sur ma cuisine, mais une chose, ne m'appelle plus jamais "Nounours"... Pour se qui est du pourquoi se nom, tu as déjà répondu a ta question, et par deux point. De un, mes nouilles ne sont telle pas délicieuse? Elles sont Révolutionnaires! Je compte changer le monde avec elle. De deux, oui, je n'aime pas se gouvernement, je le déteste, et je compte bien le faire tombé d'une façon ou d'une autre un jours."

Puis il prit ce qui semblait étre une trés grande masse de fer qu'il posa devant le comptoir. En y regardant de plus prés, notre homme se rendit compte que c'étaient des baguettes géantes pour Ramens. Ses yeux s’illuminèrent et l'ours expliqua qu'il comptait aussi combattre et non juste cuisiner.

"-Ahahahahaha! Crois-tu vraiment que les membres de la révolution ne font qu'une seule chose? Chaque homme qui me rejoint doit faire ses preuves au combat, sinon comment comptes-tu renverser le gouvernement? "

Au moment où il termina sa phrase, le bateau restaurant trembla et il entendit la voix de ses hommes crier qu'ils était attaqués.

"-Justement, l'occasion se présente à toi, alors prouve moi que tu as l'étoffe d'un révolutionnaire!"

Edward dégaina son pistolet et se dirigea vers la sortie. Les navires étaient tous deux assez proche du restaurant, celui de notre homme protégeant le commerce. Iza et Marshall était tout proches de lui, et tous trois grimpèrent rapidement sur le bateau. Tous les hommes étaient prêts à combattre, mais notre héros fut surpris lorsqu'il vit un pavillon pirate. Il s'attendait à croiser le fer avec la marine, mais que voulait ces forbans? Il entendit un coup de canons et un boulet s'approchait rapidement du flanc du "Destroyer" mais quelques secondes avant l'impact, Iza trancha ce boulet avec son sabre. S'il voulait la guerre, ils étaient mal tombés aujourd'hui.

"-Camarades, faisons comprendre à ces hommes arrogants qu'ils ne peuvent pas attaquer l'un des notres sans en subir les conséquences. Ah, au fait, on a un nouveau cuistot, mais je ferais les présentations plus tard, pour le moment, tous à votre poste! Je compte sur vous!"

Tous les révolutionnaires lancèrent un grand cri, et sortirent leurs armes. Edward monta dans la vigie, où l'attendait son fusil de précision un peu spécial. En effet, il avait concocté quelques balles explosives et d'autres qui lançait des filets en acier, emprisonnant les adversaires. Il se mit en position et arma son arme. Les deux navires étaient maintenant très proches, et tout le monde était prêts. La première balle qu'il tira atteint les pirates les plus éloignés du pont et l'explosion qui s'en suivit élimina cinq adversaires. La bataille commençait maintenant. La seconde balle élimina quatre adversaires. Bien que moins nombreux les ennemis ne semblaient pas vouloir abandonner et se jeta corps et âmes dans le combat. Mais que faisait Bird? Dans ce chaos, notre héros ne parvenait pas à le voir, mais il était persuadé qu'il n'en sortirait que plus fort, sinon cela voudrait dire que le Leader s'était trompé.

Bird prit en main son arme, se dirigea vers la sortie, regarda son habitué et lui sourit avant de sortir du restaurant. Un boulet de canon passa non loin de sa tête, ce qui lui fit ouvrir grand les yeux d'étonnement, ce disant qu'il devait être un peu chanceux. Il regarda en sa direction et vit le bateau coupable de ceci. Le combat avait déjà été engagé, et il fut content de voir qu'il ne devrait pas faire le ménage tout seul, puisqu'un assez gros équipage de révolutionnaire était déjà en train de sortir les vidanges. Bird prit une bonne bouffer d'air puis d'un coup relâcha le tout en un puisant rugissement, non, ce n'était pas son rire cette fois-ci, c'était un cri de guerre, il prit la parole pour qu'au moins quelque un des asseyant l'entendre.
— Vous venez, vous foutez la merde sur mon restaurant, et vous dérangez mon client... J'vais vous faire regretter d'avoir daigné vous frotter à "Marsh"!!
Il sépara son arme en deux, devenant deux baguettes de ramen. Un type se croyant chanceux d'affronté un ours, se prit l'énorme masse de fer en pleine tronche, et revola plus d'une dizaine de mettre avant de tomber à l'eau. Bird ayant de bons reflex, une balle perdue qui se dirigea vers lui se fit arrêter par l'autre baguette de ramen en métal qu'il plaça sa cuisse la balle et ricocha au loin. Il regarda en direction de la balle, c'était un ennemi qui avait manqué sa cible, alors allons lui dire de faire attention! Bird chargea, en balayant tout ennemi dans son passage en donnant de grands et forts coups avec ses deux baguettes au moins dix pirates se retrouvèrent soit par terre avec quelque os briser, ou dans la mer, inconscient pour certain. Arrivé au côté de l'homme, Bird déposa par terre à la verticale ses armes, tellement énormes qu'elle restait debout, puis prit la tête du tireur avec son énorme patte gauche.
— On ne joue pas avec des jouets dans un restaurant à ton âge, gamin!
Après cette phrase dite, il le dirigea directement vers le sol et lui écrase le visage contre se dernier, les planches de bois craquèrent et certain fendirent. D'autres pirates tentèrent de couper Bird Malow en rondelle, mais avec ses griffes complètement sortit, il arrêta deux des épées des attaquants, l'homme du milieu par contre, n'ayant pas pu abattre son arme attend sur l'ours se vit recevoir un coup de tête de la part de ce dernier, ce qui le fit se diriger vers l'arrière, bousculant plusieurs de ses confrères. Pour les deux autres, Bird rapprocha ses deux pattes qui bloquaient les armes, la tête des deux pirates était malheureusement dans le chemin et avant qu'il ne put enlever leur épée, leur tête, en plus de se cogner violemment l'une de l'autre, se fit couper par leur propre arme. Bird reprit ses baguettes, puis grimpa à bord du bateau ennemi en fessant Office de pique-glace sur la coque du navire avec ses armes. Arrivé au port, il donna un puissant coup avec ses deux baguettes sur le plancher, détruisant une bonne partie des planches de bois.
Homme — AH! C'est lui Taicho'! C'est lui qui m’a fait ça!
Bird regarda en direction de la vois, et soupira, c'était bien l'homme qu'il avait amoché il y a quelques jours. Son capitaine était rondelet, Bird le doublait en grandeur, il portait un chapeau ridicule en office du chapeau de capitaine et semblais avoir un shot-gun en mains. Il ne semblait pas très gentil, du type de tué tout ceux qui l'opposais rien qu'un peu. Il croisa le regard avec Bird et se mit à crier :
Capitaine — J'vais me faire de l'ours ce soir!
Bird se mit a rigolé, vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, cela allait parfaitement bien a la situation.